top of page

Vitoria à Rio de Janeiro

Photo du rédacteur: Jo et SylvieJo et Sylvie

10 Juillet :

Ce 10 juillet, en nous réveillant nous réalisons que nous sommes toujours dans le port de Vitoria. Nous devions partir plus tôt dans la nuit et cela n'a pas été le cas.

Nous profitons de cette attente du départ pour se balader sur le pont supérieur et regarder le paysage autour de nous. Devant notre bateau, il y a un autre porte containers qui semble bien chargé aussi.

Nous en profitons d'internet pour lecture des mails, mise à jour du blog et échanges sur Whatsapp et appels téléphoniques avec Skype.

Skype s’avère être une très bonne application permettant à peu de frais d’appeler vers des postes fixes vers la France.Cela nous réjouit de savoir que tout le monde va bien, nos mamans, notre famille mais aussi nos amis.

C’est durant à ce moment-là que je découvre un ‘texto’ non lu jusqu’à présent car pas de réseau. Ce texte est admirablement beau je trouve, le voici :

« …Je suis dubitatif de ce que vous faites. Dans ma vie, je pourrai dire que j’ai eu l’honneur de connaître deux artisans, toi et mon père. Mon père était artisan plombier-chauffagiste et toi tu es l’artisan de ton bonheur …. Bravo tu es très courageux ! Je vous souhaite une belle tranche de vie, bisous à vous deux ;-)… »

Ensuite nous retournons contempler la vie du port. Le commandant de bord (Master) est sur le pont supérieur et attend le 'pilote' qui montera à bord pour assurer la sortie du bateau.

Il est 11 :00 lorsque nous quittons le quai tirés par deux remorqueurs.

Ce n’est pas de chance, cela tombe juste avec l’heure du déjeuner. Nous voulons profiter du départ du bateau et mangeons à toute hâte… Le fruit, nous reviendrons plus tard…. Pas grave…

Du pont, nous savourons ces décors du Brésil qu’on laisse derrière nous. Nous croisons des habitations différentes l'une de l'autre, des bateaux de pêche. Les remorqueurs font demi-tour.

Il ne reste à bord que le ‘pilote’ du port venu à bord pour diriger le navire à franchir le chenal.

Un bateau vedette viendra se rapprocher au plus près du bateau et l’homme s’en ira alors…

Peu à peu la côte disparait et se confond avec la brume de chaleur à l’horizon. Nous voici partis en direction de Rio de Janeiro.

bottom of page